Texte : Jean Andersson
Musique : Christopher Murray
Etonné par tes yeux de rire
Alors qu’il fait si froid dehors
Alors qu’on ne songe plus à vivre
En cet hiver de corridor
Je songe au feu et son bois mort
Etonné par ce rouge à lèvres
Qui fait ta bouche comme un fruit
Alors que me revient d’un rêve
L’instant où tu ne fus qu’un cri
Etonné
Je songe à ce qui fait la nuit
Etonné par ton corps en flamme
Dressé au plus haut de mes mains
Alors que fleur naît de la femme
De ce grand lit, de nos matins
Je songe à ton enfant demain
Etonné par ta force immense
A te donner âme et le corps
Alors qu’il faudrait faire silence
Pour n’être pas jeté au sort
Etonné
Je songe à te vouloir encore
[chorus saxo : Pierre Diaz)
Etonné par ce goût de vivre
Au delà des petits chagrins
Alors qu’il est bon qu’on soupire
Au moindre mal et même pire
Je songe à te garder sans fin…
Voudras-tu me garder sans fin ?